La structure du tournoi de Sumo

Organisation générale d’un tournoi de Sumo

Les tournois de sumo se déroulent selon une structure tournoi sumo bien définie, organisée en plusieurs divisions sumo qui hiérarchisent les lutteurs selon leur niveau. La plus prestigieuse est la division makuuchi, suivie par la juryo, puis les divisions inférieures : makushita, sandanme, jonidan et enfin jonokuchi. Cette progression reflète l’expérience et la performance des rikishi.

Le format sumo est basé sur six tournois officiels annuels, chacun durant 15 jours. Chaque jour voit un nombre variable de combats selon les divisions, avec un calendrier rigoureux débutant par les divisions inférieures tôt le matin et culminant avec les champions de la division makuuchi en soirée.

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Le nombre de participants varie, approchant souvent 42 lutteurs dans la makuuchi et judicieusement répartis dans toutes les divisions. Le système n’est pas purement éliminatoire. Chaque rikishi affronte plusieurs adversaires, et ses performances durant les quinze jours déterminent sa progression ou relégation, donnant ainsi un intérêt constant à toutes les rencontres.

Déroulement d’une journée type pendant un tournoi

Durant un déroulement tournoi sumo, la journée commence tôt avec les divisions inférieures. Les premiers combats regroupent les rikishi de jonokuchi, jonidan, sandanme, puis makushita. Ces lutteurs affrontent leurs adversaires dans un ordre précis, permettant au public de suivre la montée en puissance des affrontements.

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Les matchs de divisions sumo plus élevées, comme juryo et makuuchi, se déroulent en fin d’après-midi et en soirée, rassemblant une audience plus large. Chaque combat est limité à quelques secondes, souvent moins d’une minute, mais certains excèdent une minute en fonction de la stratégie et de la force des rikishi.

Avant chaque combat, plusieurs rituels importants encadrent les affrontements : un shiko (levée et frappe du pied), puis le jet de sel destiné à purifier le ring. Ces règles match sumo ne sont pas que symboliques, elles participent à la concentration et à l’équilibre mental des lutteurs. Après le combat, le gagnant est officiellement désigné par l’arbitre (gyoji), suivant des règles strictes concernant la sortie du ring ou la chute.

Ce protocole minutieux assure un spectacle respectueux de la tradition tout en maintenant la rigueur sportive essentielle au tournoi.

Système de classement et promotions

Le classement sumo repose sur un système hiérarchique appelé banzuke, qui ordonne les rikishi du plus prestigieux, le yokozuna, jusqu’aux plus modestes, dans la division jonokuchi. Ce classement est essentiel car il détermine non seulement le statut du lutteur mais aussi ses adversaires lors des tournois.

La promotion sumo intervient à la fin de chaque tournoi, basée sur les résultats obtenus durant les quinze jours. Un rikishi affichant un score positif (plus de victoires que de défaites) est éligible à une hausse de rang. Inversement, une performance insuffisante entraîne une relégation sumo vers une division inférieure ou un rang moindre dans la même division.

Le banzuke reflète ainsi un équilibre entre mérite sportif et régularité. Par exemple, un rikishi de juryo peut accéder à la prestigieuse division makuuchi après un tournoi réussi. Ce système, rigoureux mais juste, garantit une mobilité constante, maintenant la compétitivité du format sumo. Il offre aussi aux fans un suspense renouvelé sur l’évolution des lutteurs et leur carrière.

Organisation générale d’un tournoi de Sumo

La structure tournoi sumo repose sur un système organisé en six divisions sumo distinctes, ordonnées selon le niveau et la réputation des rikishi. En tête se trouve la division makuuchi, qui regroupe environ 42 lutteurs parmi les plus expérimentés, suivie par la division juryo. Sous ces deux divisions professionnelles viennent les divisions amateurs et semi-professionnelles : makushita, sandanme, jonidan et enfin jonokuchi, la plus modeste où débutent les novices.

Le format sumo se compose de six tournois officiels par an, chacun durant 15 jours, un calendrier rigoureux qui mêle régularité et intensité. Contrairement à un simple système éliminatoire, chaque lutteur rencontre plusieurs adversaires au fil des jours. Ses performances cumulées déterminent son classement futur. Ce format donne à chaque combat une importance particulière, puisque la progression ou la relégation d’un rikishi dépend du bilan global de victoires et défaites.

Ainsi, la structure tournoi sumo valorise la constance et l’endurance, offrant un spectacle riche en rebondissements pour les spectateurs.

Organisation générale d’un tournoi de Sumo

La structure tournoi sumo est strictement hiérarchisée en six divisions sumo : makuuchi, juryo, makushita, sandanme, jonidan et jonokuchi. La division makuuchi, la plus prestigieuse, regroupe environ 42 lutteurs professionnels. Juste après, la division juryo accueille des compétiteurs aussi professionnels mais de niveau inférieur. Les divisions makushita, sandanme, jonidan et jonokuchi servent de base, préparant les rikishi novices à gravir les rangs.

Le format sumo prévoit six tournois officiels annuels, chacun s’étalant sur 15 jours où les rikishi affrontent plusieurs adversaires. Ce format non éliminatoire permet à chaque lutteur de mesurer sa performance globale plutôt que l’issue d’un simple match à enjeu unique. Ainsi, les classements se basent sur un bilan de victoires et défaites cumulées.

Ce calendrier intensif garantit une confrontation régulière entre toutes les divisions sumo, offrant un spectacle aussi varié que soutenu. Chaque lutteur peut progresser ou être relégué selon ses résultats, assurant une pérennité à la compétition et une évaluation constante de son niveau.

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